INSPIRATIONS
Citations
« Être soi-même c’est devenir soi-même.” Kierkegaard
“Le sens de notre existence s’éclaire à la lumière des rencontres de notre vie.” D.Vasse
“Ne prévoir rien, sinon l’imprévisible. Ne rien attendre, sinon l’inattendu. “ C.Bobin
“Toute création est poésie.” J.Clerget
“Dès qu’on approche un être humain, on touche à l’inconnu.” E.Estaunie
“La sensibilité de chacun est son génie.” C.Baudelaire
“Pour percevoir la réalité telle qu’elle est, il nous faut avant tout calmer l’eau de notre lac.” T.Nhat Hanh


“Avez-vous la patience d’attendre que la boue se dépose au fond de l’eau et que l’eau de l’étang devienne claire à nouveau ? Avez-vous le courage de rester immobile jusqu’à ce que l’action juste émerge d’elle-même ?” Lao-Tseu
“Mais si tu m’apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée.” Le Petit Prince
“Il n’y a pas d’âge pour la création.” R.Laforestrie
“L’autonomie n’est pas l’absence de dépendance mais la pssibilité de gérer ses dépendances.” D.Anzieu
”Vieillir est une expérience nouvelle que chacun a à explorer.” C.Demaret
“Je sais que je suis, je peux dire “je”, car d’autres m’ont dit “tu”. Je suis les liens que je tisse.” A.Jacquard
“A la question : qu’est-ce qu’un enfant ? La réponse est sans doute: un être qui joue. “ A.Stern
“L’art-thérapie créative s’inscrit dans un mouvement de retour au corps perdu, face à l’inflation du discours mental. (…) la création en thérapie est accès à la forme comme porteuse de sens tant dans l’exploration de soi-même que du monde.” J.P.Klein

“Quelque soit le style, l’apparence n’est que l’extérieur de quelque chose.” Xu Yun
“Tu es l’étranger. Et moi? Je suis pour toi, l’étranger. Et toi? L’étoile, toujours, sera séparée de l’étoile; ce qui les rapproche n’étant que la volonté de briller ensemble.” E.Jabès
“ On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté sRon idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme.” Général Mac Arthur
“Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.” Le Ptit Prince
“ Il y a, au centre de nous-mêmes, une source de vie et de création que rien ni personne ne peut nous dérober.” A.M.Jobin
INSPIRATIONS
Textes et Extraits
“ Enfants de la Terre, rayonnez qui vous êtes vraiment !” G.Rafflin
“ (…) Que se passe-t-il au centre? Au même titre que dans l’œil du cyclone, au centre, il ne se passe rien, c’est le calme, c’est le centre, le point d’équilibre, le point de bascule où tous les possibles peuvent se manifester d’un instant à l’autre.
Le centre est comme l’instant fragile et fugace entre l’inspire et l’expire, ce moment léger qui marque, telle une virgule, le temps entre l’avant et l’après. Le centre est un espace important, c’est la croisée des chemins, le carrefour, le transept où l’ici et le maintenant se rassemblent pour faire équipe dans la véritable présence de l’être. (…).“

“ Le renard et le Petit Prince” A.De St Exupéry “ (…) Je suis un renard, dit le renard.
Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince.
Je suis tellement triste… Je ne puis jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
Ah ! Pardon ; fit le petit prince.
Mais après réflexion, il ajouta : Qu’est-ce que signifie “apprivoiser”?
Tu n’es pas d’ici, dit le renard. Que cherches-tu ?
Je cherche les hommes, dit le petit prince. Que signifie “apprivoiser » ?
(….)

“La funambule colorée des saisons de la vie” S.Prat
“Il était une fois un équilibriste jongleur qui apprivoisait sereinement des créatures humaines venues d’ailleurs. Point de départ d’une histoire à trois voix. Il les observait avec toute sa finesse et les voyait tantôt mésange, coucou, rouge-gorge, faucon, grue cendrée, moineau, corbeau, pie, hirondelle, chouette effrai et autres gallinacées… sous cloche… le temps d’un hiver de leur vie si précieuse. Il les invitait au fil de leurs rencontres à un nouveau voyage poétique, imagé, craquelé ou cardé à travers eux-mêmes par l’intermédiaire de la force de vie: leur créativité.«

“Balade sensorielle” M.Curinier
“Retrouvez : LA VUE
Que celui qui dans sa nuit n’y voit plus trés bien se fie à l’enfant qui s’éveille.
Il lui montrera la rondeur des fruits, l’or des blés, il permettra de voir avec des yeux plus ardents le disque argenté de la lune, le faisan qui saute, les ailes frémissantes, au milieu de la bruyère en fleurs, la nuée d’orage entourant d’un linceul pourpre les sommets lointains.
Vous qui cherchez la certitude, contemplez la rose de mai, vous serez pénétrés d’un sentiment d’espoir.
Regardez et voyez.
Ici, dans l’ombre nacrée de la basilique, un lumière limpide captée par le vitrail vous renvoie de divins rayons.
Là-bas à l’horizon, figé dans le crépuscule doré, un minuscule clocher semble posé comme un point d’orgue.
Demandez à l’aveugle un morceau de lumière, ses yeux sont une étoile malgré la nuit et le brouillard de ses soucis.
Au moment de perdre pied, il vous rappellera: “Puise dans cette brume et tais-toi; ne couvre pas le bruit du ruisseau, écoute… (…)”